Connectée !

Quelques outils qui me permettent de rester connectée avec Dieu

Ma vie avec Dieu… Bilan !

Ces derniers jours, en étant plus souvent à la maison, j’ai eu l’impression de faire souvent ce constat : tout au long de ma journée, je suis de plus en plus à l’affût de toute nouveauté qui m’arrive. Un coup de téléphone, un message, un e-mail, une actualité, un nouveau contenu en ligne,… Je consulte souvent mon téléphone, ou mon ordinateur pour checker si quelque chose de nouveau est arrivé.

Mais à la fin de la journée, je dois bien souvent admettre que toutes ces nouvelles ne sont pour la plupart pas très importantes ni édifiantes (je ne parle pas de ce qui est clairement mauvais pour mon âme, qui me confronte directement avec le péché) . J’ai eu l’impression d’être “remplie”, mais au final ce n’était pas très consistant.

De plus, j’ai utilisé pas mal de temps et d’énergie à m’occuper de ces choses. Or ce temps là ne reviendra jamais, ces minutes qui se sont écoulées, je ne les revivrai jamais! En contraste, je réalise que je n’ai passé que peu de temps avec celui que j’appelle “mon Seigneur”, c’est à dire “celui qui occupe le premier rang” ou le “maître”.

Soit, mais que faire alors pour éviter de tomber dans ce piège? Je voudrais simplement partager avec toi ici quelques outils qui me permettent de rester connectée avec Dieu.


L’occupation de ton temps dépend de ce que tu décides.

Laisser de la place pour les choses de Dieu dans ton quotidien est un choix qui t’appartient. Personne ne le fera pour toi! Au contraire, Satan essayera constamment de te voler ton temps, de te remplir de choses inutiles. C’est normal, il sait combien ces moments de qualité avec ton Seigneur sont bénéfiques, et il fait tout pour les empêcher. Cela te demandera sûrement des efforts, mais je t’assure que ca en vaut la peine!

Alors ca y est, tu as pris ta décision? Pour moi, j’ai souvent constaté que malgré mon désir de passer plus de temps avec mon Seigneur, et toute ma bonne volonté, je me laisse souvent envahir par les occupations quotidiennes. Et à la fin de la journée, lorsque je m’en rends compte et que j’essaye d’y remédier, je suis souvent fatiguée. Ou alors je pense à tout un tas de choses qui ont rempli ma journée, mais je ne peux pas dire que ces moments soient de qualité.

Alors, il faut passer à l’action! Plusieurs techniques m’aident à favoriser ces précieux moments de communion avec mon Seigneur.


Organiser son temps


Mettre en place des routines, ou des habitudes a du bon parfois! Cela m’aide à réserver des moments pour l’essentiel.

Lorsque je me réveille le matin, j’ai pris l’habitude de réserver un moment à la lecture de la Bible, la méditation et la prière. “Oui, mais moi je ne suis pas du matin, je n’arrive pas à me réveiller, etc.” Au début, je me disais ça. Mais après avoir testé, je ne reviendrai pas en arrière!
C’est quand ton cerveau est encore frais et dispo, quand l’agitation de la journée n’a pas encore commencé, que le Seigneur veut te parler. Il veut passer un moment avec toi au calme, t’encourager, te donner des forces pour la journée à venir. C’est vrai que ca demande un effort. Mais le Seigneur est puissant pour t’aider à le faire. Il sait que ce tête à tête avec Lui est essentiel pour ta journée. Il sait qu’après cela, tu devras affronter le monde, prendre des décisions, être efficace,… Il est déjà passé par là, Il sait exactement te donner les forces qu’il te faut pour surmonter ces difficultés.
Le Seigneur n’a pas donné de règles dans la Bible concernant ces moments de lecture et de méditation personnelle. Il t’invite seulement à venir “à l’écart dans un lieu désert” dans sa compagnie (Marc 6.31). A toi de voir ce que tu fais!

Tu as certainement déjà entendu ce verset “priez sans cesse” (1 Thessaloniciens 5.17). Mais combien de fois, à la fin de ma journée, je constate que je n’ai pas beaucoup échangé avec mon Seigneur. Mettre en place des routines de prière dans ma journée m’a aidé à combattre cela. Il s’agit simplement de moments qui se répètent chaque jour que j’utilise pour la prière. Il y a certainement des activités que tu fais quotidiennement, et qui ne nécessitent pas forcément de beaucoup réfléchir (exemple : te laver les dents, faire la vaisselle,…). Utilise ce temps pour prier ! Au début, il peut être nécessaire de coller des post-it pour s’en rappeler, mais une fois l’habitude prise, c’est beaucoup plus facile!


Des outils concrets

Mettre des mémos dans la maison

Pour éviter d’arriver à la fin de la journée et de me dire “oups, j’ai oublié!”, je mets des rappels à des endroits stratégiques : devant mon évier, sur la porte des WC, sur mon miroir, sur mon frigo, à côté de l’ordinateur… Ça peut être une déco, un tableau, un post it, tout est possible!

Tenir un journal de bord

J’utilise au quotidien un carnet où je note mes sujets de reconnaissance, mes prières, les versets qui me frappent et quelques notes d’étude biblique. Ça m’aide à aller au fond des choses, à garder le cap aussi. En effet, écrire oblige à poser des mots, à approfondir, à réfléchir. Ce carnet est toujours ouvert, sur mon plan de travail, ou sur la table à proximité. Il me stimule à cultiver la communion avec mon Seigneur et à avancer dans ma vie chrétienne.

Écouter de la musique chrétienne

Lorsque plein de pensées s’accumulent dans ma tête, ou alors que je perds un peu pied, j’aime écouter de la musique calme. Ce sont souvent des cantiques en version instrumentale seulement. Ça m’apaise, ça m’aide à me recentrer sur l’essentiel, à penser aux choses d’en haut.

Se fixer des défis

Cette année, j’ai décidé de lire ma Bible en entier. Cela me paraissait impossible au début. C’était une sorte de défi. Avec l’aide de Dieu, je suis toujours à jour, et même en avance! Il ne faut pas s’arrêter à ce qui nous paraît possible ou impossible. Prier plus, lire plus, etc. J’ai toujours l’impression que je n’aurai jamais le temps ni la persévérance. Mais avec l’aide de Dieu, tout est possible. Si nous recherchons sa gloire avant tout, il nous aidera à aller jusqu’au bout. Lui même a dit : “cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus” (Matthieu 6. 33). Et pourquoi ne pas partager ces défis à plusieurs? La Bible nous exhorte à “nous inciter à l’amour et aux bonnes œuvres” (Hébreux 10. 24).

Quelques applis

Mon téléphone m’aide parfois à passer du temps avec Dieu ! Il y a des applis qui me permettent de lire la Bible où que je sois (Bibliquest ou Youversion par exemple), de recevoir des versets en notification tous les jours (BibleApp). Il y a aussi un groupe whatsapp intitulé « Jésus entra » qui propose un message d’étude biblique par jour spécialement dédié aux femmes (pour y entrer, tu peux envoyer un mail précisant ton numéro de téléphone à l’adresse : site.legrenier@gmail.com).

Enfin, l’application Stayfree est intéressante car elle m’aide à éviter de perdre trop de temps sur mon téléphone! Elle comptabilise le temps que j’ai passé sur mon portable et propose des statistiques par application. Elle permet également de mettre des alertes, voire carrément de stopper l’application au bout d’un certain temps d’utilisation.

… Alors ?!

Voilà ! J’ai listé quelques éléments qui m’aident dans ma vie avec Dieu. Ça peut paraître un peu rigide toutes ces routines et ces habitudes. C’est vrai qu’il ne faut pas non plus tomber dans le piège de faire de notre vie chrétienne un ensemble de temps à respecter, de règles à suivre! Mais personnellement, si je ne ménage pas ces temps intentionnellement, je me laisse gagner par beaucoup d’autres choses plus futiles. Demandons donc au Seigneur de nous aider à réaliser ce verset dans chaque détail de notre journée :

“Quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu”
(1 Corinthiens 10. 31).

Auteure invitée

Aux jeunes mamans

A l’approche de la naissance de notre 3e enfant, et avec plusieurs futures ou jeunes mamans dans mon entourage, j’ai envie d’encourager les mamans pour lesquelles ce n’est pas tout rose : allaitement compliqué, nuits très hachées, « bébé aux besoins intenses », bébé malade…

J’ai à cœur de partager avec vous ce qu’une sœur plus expérimentée m’avait dit avant mon premier accouchement et qui m’a beaucoup aidée :

Vous êtes exactement les parents qu’il faut pour cet enfant ; et c’est exactement le bébé qu’il vous faut.

J’aimerais développer un peu les 2 parties de cette phrase, en m’adressant spécifiquement à la maman :

– La maman parfaite n’existe pas, mais tu es la parfaite maman pour ton enfant. Dieu t’a donné cet enfant, à toi et non à une autre, car c’était toi qu’il voulait comme maman pour lui. Alors fais-toi confiance, et surtout fais confiance à Dieu, car il te donnera la sagesse de savoir comment t’en occuper.

Le Seigneur n’appelle pas des gens qualifiés, doués ; mais il qualifie, il équipe ceux qu’il appelle. Puisqu’il t’a appelée à être la maman de cet enfant, il te donnera les forces, la sagesse et tout ce dont tu as besoin pour en prendre soin.

– Se rappeler que c’est un trésor que Dieu nous confie, le recevoir directement de sa main, comme s’il nous disait : « c’est ce bébé que je te confie, lui, pas un autre ».

Prier :  Aide moi à l’aimer, à l’accepter comme il est, même si ce n’est pas le bébé parfait dont j’avais peut-être inconsciemment rêvé (« facile », calme, qui fait de longues siestes dans son lit etc.)

Lorsque je pense : « Je n’en peux plus, je ne vais pas y arriver » :  alors je suis dans le bon état d’esprit pour recevoir son aide, Ses forces : Quand je suis faible (c’est-à-dire conscient de ma faiblesse, de mon incapacité), alors je suis fort.

Le Seigneur Jésus dit : Ma grâce te suffit, ma puissance s’accomplit dans la faiblesse.

Alors un jour après l’autre, un jour à la fois, et même un moment à la fois, avoir recours à Sa grâce …

Quand le soir arrive et que bébé commence à hurler, inconsolable, que je sais que ça va durer un moment, car c’est comme ça tous les soirs depuis plusieurs semaines : « Seigneur, en ce moment même, je reçois de ta part une ‘dose supplémentaire’ d’amour et de patience pour m’occuper de mon bébé sans m’énerver ; même si je ne ressens pas cet amour ou cette patience, je les reçois par la foi. »

Quand bébé se réveille alors que je viens juste de le poser et que je comptais me reposer ou faire autre chose : « Seigneur, ce que je ressens comme un contre-temps, un agacement, aide-moi à l’accepter, à croire que c’est permis par toi pour mon bien… »

Quand bébé se réveille une énième fois dans la nuit : « A l’aide Seigneur, aide-moi à me lever et à faire ce qu’il faut, je veux le faire pour mon bébé et pour toi. »

Quand on est pris dans ce tourbillon intense d’émotions et de fatigue, c’est difficile de ne pas culpabiliser en entendant autour de nous : « un bébé, c’est que du bonheur ! » ou encore : « profites-en à fond, ça passe vite ! » On peut penser : « je devrais être heureuse, je n’ai pas le droit de me sentir triste/dépassée/énervée… »

C’est vrai, avoir un bébé est un immense privilège, mais c’est aussi un bouleversement hormonal, beaucoup de fatigue, de nouvelles responsabilités, des habitudes chamboulées… C’est normal de ressentir des émotions contradictoires, n’y ajoute pas la culpabilité ! Parle au Seigneur de ce que tu ressens, demande lui de t’apaiser, de te remplir de Son amour, de Sa paix… viens régulièrement « faire le plein » à la Source !

Je te souhaite beaucoup de courage et de bonheur dans cette étape à la fois si belle et si difficile… !

PS 1 : Attention, si tu ressens en permanence de la tristesse, une perte d’intérêt, un sentiment d’incapacité, de l’angoisse…, il se peut qu’il s’agisse d’une dépression post-partum : n’hésite pas à en parler à ton entourage et à ton médecin. Voici un test qui permet de savoir où on en est :

PS 2 : Et si tu as une jeune maman dans ton entourage :

– écoute-la avec bienveillance, sans la juger, même si tu ne la comprends pas
– propose lui de l’aide ! (lui apporter un repas, lui faire des courses, l’aider pour le ménage ou le linge, s’occuper des aînés…)

Anne-Madeleine

Je suis contente pour toi !

Il est une idée répandue sur les femmes : nous nous regardons du coin de l’oeil, nous nous comparons, nous nous rassurons sur notre propre valeur par opposition aux autres… Nous peinons parfois à nous réjouir pour les autres, ou à compatir avec elles… Le bonheur des unes fait-il le malheur des autres ?

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19. 18)

« Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent et pleurez avec ceux qui pleurent »(Romains 12. 15)

Tant pis pour ces versets ?

Non, nous ne pouvons décidemment pas nous satisfaire de ce tableau.

Une histoire de la Bible

Dieu accorde à Pénina de pouvoir avoir des enfants, et dans sa souveraineté, il ne permet pas cela pour Anne, la seconde femme d’Elkana. (1 Samuel 1)

Dieu permet une grande épreuve pour Anne. Elle n’a pas d’enfant alors qu’elle désire vraiment en avoir. Mais en plus elle voit tous les jours dans sa maison l’autre femme de son mari serrer ses enfants dans ses bras. Pour couronner le tout, cette Pénina est odieuse avec elle en remuant toujours le couteau dans la plaie. La Bible précise même l’objectif de Pénina : « la pousser à l’irritation ». Elle était donc en cela une occasion de chute pour Anne, qui était d’autant plus tentée de se mettre en colère, contre Pénina mais aussi contre Dieu qui ne lui donnait pas d’enfant.

Si Dieu permet une épreuve dans la vie d’un croyant, il veut aussi lui donner la force de la supporter, sans que nous soyons « poussés à l’irritation », en nous révoltant contre lui. Il a aussi prévu que nos frères et soeurs nous soutiennent dans ces épreuves.

Le second commandement le plus important de la Bible est parfois bien difficile à appliquer. « Aimer son prochain comme soi-même » c’est en effet souhaiter de tout coeur à nos prochains le bien que nous voudrions pour nous-mêmes.

Pénina empêche Anne, par son attitude odieuse, de se réjouir pour elle.
Quand nous recevons une bénédiction, veillons à ne pas faire chuter nos frères et sœurs qui n’ont pas reçu la même chose. Soyons sobres et sensibles à leur situation lorsque nous évoquons bien des aspects de notre vie quotidienne : la famille, l’argent, le mariage, le travail, le logement, les vacances, la santé…

En effet, rapidement, la jalousie, l’envie, montent dans le cœur. Dieu nous appelle au contraire à être contents de ce que l’on a : « J’ai appris à être content dans les situations où je me trouve » (Philippiens 4. 11), et même à nous réjouir avec ceux qui se réjouissent.

Malheureusement, je suis Anne et Pénina à la fois!

Dans ma mauvaise nature cohabitent une perpétuelle insatisfaite, et une « m’as-tu vue? » bien déguisée. C’est un fait, je serai toujours « plus » (jolie/intelligente/rigolote/attentionnée/pieuse…) que l’une et « moins » (jolie/intelligente/rigolote/attentionnée/pieuse…) que l’autre. Et les sentiments que ces deux attitudes provoquent sont mauvais.

Retenons pour nous que si nous jouissons de bénédictions de Dieu, c’est vraiment par grâce. Prenons l’exemple de Marie : elle aurait pu s’enorgueillir d’avoir été choisie pour mettre au monde le Fils de Dieu! Son état d’esprit est tout autre : « Mon âme magnifie le Seigneur, et mon esprit s’est réjoui en Dieu mon Sauveur, parce qu’il a regardé à l’humble état de son esclave » (Luc 1. 48).

Mais il y a une attitude qui est encore pire que les précédentes : c’est de penser, et promulguer autour de soi, que notre piété ou notre fidélité nous ont permis d’obtenir une bénédiction terrestre.

La personne en face de toi a certainement aussi beaucoup prié. Certainement qu’elle aussi a remis toute sa vie entre les mains de Dieu. Comme Paul, elle a pu supplier le Seigneur plusieurs fois.

Du moment où l’on commence à penser que notre fidélité, nous a acquis une bénédiction, nous perdons de vue sa véritable source, Dieu, et son moteur, la grâce (1 Thessaloniciens 5. 18).

L’éventail des bénédictions de Dieu est très large.

Dieu nous bénit toutes, parce que c’est ce qu’il aime faire. Mais toutes ces bénédictions ne sont pas terrestres.

Il peut par exemple…

  • donner un sentiment particulier de sa présence dans nos vies.
  • nous faire don de sa joie, de sa paix, de son amour.
  • permettre des fruits dans notre service pour lui.
  • nous donner la joie immense de voir une âme se tourner vers lui.
  • rendre un passage de la Bible lumineux, et même nous faire entrer dans ses secrets (Psaume 25. 14).
  • combler un manque affectif et redonner confiance en soi et en lui.
  • rendre l’espérance du ciel vraiment vivante en nous …

Conseils pratiques

Comment faire, alors, si je sais que j’éprouve parfois des sentiments que le Seigneur n’approuve pas, mais que je veux pourtant honorer Dieu dans toute ma vie? C’est bien difficile de contrôler ses pensées et ses sentiments, qui souvent nous prennent par surprise, ou nous prennent de vitesse!

Lorsque je me compare à quelqu’un, je peux :

  • Confesser la jalousie ou le mépris, l’envie ou la suffisance qui me caractérisent.
  • Lister toutes les bénédictions que Dieu m’accorde, pour toujours avoir à l’esprit sa grâce et sa générosité envers moi, et ainsi cultiver un esprit de reconnaissance qui me gardera, soit de vouloir plus, soit d’étaler ce que j’ai.
  • Développer ma vie de prière. Philippiens 4,7 nous promet que la communion avec Dieu gardera nos pensées dans le Christ Jésus. Nos pensées seront alors pures. La suite du passage nous dit « que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées. » Nous pouvons être actives pour faire taire une pensée et s’adonner à d’autres.
  • Nous pouvons nous encourager à prier pour celles qui nous entourent. Prier en particulier pour le bien d’une personne qui nous agace ou nous fait du mal nous permettra de voir notre coeur être transformé jusqu’à chercher véritablement son bien.

 Un cœur paisible est la vie du corps, tandis que l’envie est la carie des os.
Proverbes 14. 30

N’hésite pas à partager ton témoignage sur ce sujet pour enrichir cet article ! (site.legrenier@gmail.com)

Vitrines d’évangélisation (3)

Motivées par les vitrines d’évangélisation proposées par Magali ici, nous avons imaginé une vitrine thématique pour Noël.

On vous partage les supports que l’on a créés !

Vous trouverez ici le tuto pour réaliser les étoiles de la vitrine.

Marine et Christine

Tu peux aussi jeter un œil à l’article de Marine à ce sujet 😉

Tu as à coeur de saisir l’occasion de Noël pour annoncer l’évangile ?

Voici du matériel d’évangélisation créé pour l’occasion par Croire et voir

ici

Belles fêtes de fin d’année à toutes !

Si on vous dit « servir le Seigneur… »

“Oh mais je suis trop jeune” 

FAUX ×

Exemple de LA SERVANTE DE NAAMAN

2 Rois 5 v. 2 à 4

“Les Syriens […]- avaient amené captive du pays d’Israël une petite fille, et elle servait la femme de Naaman. Et elle dit à sa maîtresse : Oh, si mon seigneur était devant le prophète qui est à Samarie ! Alors il le délivrerait de sa lèpre. »

On a ici l’exemple d’une petite fille qui avait osé parler du prophète à la femme de Naaman ; est-ce que nous, nous osons parler du Seigneur autour de nous ? On n’a pas besoin de connaître la Bible par coeur, de partir très loin dans un autre pays ou d’être plus âgée ; comme la jeune servante on peut parler du Seigneur dans notre entourage, peu importe notre âge ! 

“Je n’ai pas le temps, j’ai trop de travail”

FAUX ×

Exemple de LYDIE  

Actes 16 v. 14

“Et une femme nommée Lydie, marchande de pourpre de la ville de Thyatire, qui servait Dieu, écoutait ; et le Seigneur lui ouvrit le cœur pour qu’elle fût attentive aux choses que Paul disait.”

Tu as peut être un travail prenant, un emploi du temps très chargé, la maison à tenir et tu ne vois pas comment en plus tu pourrais servir le Seigneur. Pourtant nous avons ici l’exemple d’une femme qui gère ses priorités puisqu’on voit qu’elle travaille (elle est dans le commerce, domaine stressant et prenant sans doute) mais trouve quand même le temps d’écouter et de servir Dieu.

“Hospitalité, partage, entraide”

VRAI ✓

Exemple des FEMMES de LUC 8 v. 3 

“Et Jeanne, femme de Chuzas intendant d’Hérode, et Susanne, et plusieurs autres, qui l’assistaient de leurs biens”.

Le Seigneur prend soin de nous et nous donne des biens matériels (un logement, une voiture…). Est-ce qu’on les utilise pour notre propre bien-être égoïste ou est-ce qu’on les met au service de notre Maître en en faisant profiter d’autres ? Par exemple en conduisant une personne âgée de l’église au culte le dimanche matin ou en mettant à disposition ton jardin à des enfants qui n’en ont pas…

Exemple de MARTHE 

Jean 12 v. 1 à 3

“Jésus […] vint à Béthanie […] On lui fit donc là un souper ; et Marthe servait”

Tu peux aussi pratiquer l’hospitalité comme Marthe qui a servi un repas au Seigneur et à tous ses disciples, malgré l’imprévu, et a pris soin d’eux.

“Je peux mettre mes talents au service du Seigneur.”

VRAI ✓

Exemple de DORCAS 

Actes 9 v. 36 et 39

“Or il y avait à Joppé une femme disciple, nommée Tabitha, qui, interprété, signifie Dorcas ; elle était pleine de bonnes œuvres et d’aumônes qu’elle faisait […] et toutes les veuves vinrent auprès de lui (Pierre) en pleurant, et en montrant les robes et les vêtements, toutes les choses que Dorcas avait faites pendant qu’elle était avec elles”.

En effet peut être que Dieu t’a donné des talents, des facultés ou des capacités ;  tu peux les mettre au service du Seigneur comme Dorcas avait mis son talent de couturière à Son service.

EN GROS, SOUVIENS-TOI QUE…

Aucun service n’est trop petit… 

(pas même donner un verre d’eau !) 

Matthieu  10 v. 42

“Et quiconque aura donné à boire seulement une coupe d’eau froide à l’un de ces petits, en qualité de disciple, en vérité, je vous dis, il ne perdra point sa récompense.”

Tout faire pour le Seigneur

Colossiens 3 v. 17 et 23

“Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du seigneur Jésus, rendant grâces par lui à Dieu le Père […] Quoi que vous fassiez, faites-le de cœur, comme pour le Seigneur et non pour les hommes.”

Matthieu 25 v. 35-36

“Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais infirme, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus auprès de moi […] En vérité, je vous dis : en tant que vous l’avez fait à l’un des plus petits de ceux-ci qui sont mes frères, vous me l’avez fait à moi.”

>>> On espère que l’exemple de ces femmes t’encouragera à Le servir quelque soit ton âge et tes circonstances de vie ! Tu verras, ça en vaut vraiment la peine, nous avons un bon Maître !! 🙂

“Si quelqu’un me sert, le Père l’honorera”Jean 12 v. 26

Valentine M. et Suzanne P.